Alimentation et Boisson

Les Elfes

Le peuple sylvain étant capable de percevoir l’âme de tout être vivant, la plupart des Elfes refusent de tuer des animaux et sont donc végétariens. Pour les quelques exceptions, ils se nourrissent de ce qu’ils chassent dans les bois.


L’aliment de base du beau peuple est une farine qui, mélangée avec différents aliments, donne des goûts variés. Cette farine est tiré d’une plante qui pousse a peu près sur tout les sols et ne demande qu’un peu de soleil et d’eau. Son nom est la Meroca. C’est une plante à haute tige, brune, sur laquelle pousse tout au bout une seule grosse fleur violette très belle par mois. C’est cette fleur écrasée et mêlée avec de l’eau qui donne la farine de Meroca. Cette farine a une couleur ocre, est très fine et est utilisée dans presque chaque plat.

Les Elfes s’en servent pour faire un pain de route appelé le Lestis. Il se présente sous forme de rouleau d’une quinzaine de centimètre de long. Un seul rouleau suffit à remplir le ventre pendant une journée, c’est pourquoi il est si apprécié par les voyageur. Seul les Elfes savent que lorsque la farine est prête, il faut la mêler avec un autre ingrédient tenu secret et transmis de famille en famille sans jamais en faire mention devant un étranger. Ensuite, la pâte obtenue est aplatie en tranches d’un centimètre et demi d’épaisseur et exposée au soleil. Dès qu’elle se solidifie un peu, les plaques sont roulé et cuite au dessus d’un feu. Les elfes gardent jalousement la recette de la fabrication du pain depuis des années. Malheureusement, cet étrange ingrédient donne un goût très amer au pain et sans celui ci, il perd toute particularité nourrissante. Ainsi, les étranger n’en mangent que lorsqu’ils ne peuvent faire autrement, ne le trouvant pas très savoureux mais bien utile ! Pourtant, les Elfes se sont habitués à cette étrange saveur et l’apprécient.



Dans les forêts d’Aleändir pousse un arbre appelé l’Ourmier. C’est un arbre aux feuilles triangulaires et vert pâle. Il ne les perd jamais mais pendant la saison de Barkios, elles deviennent rouge flamboyant. Au bout de deux mois, elles reprennent leur couleur habituelle. L’Ourmier produit un fruit pourpre, l’Ourm. C’est un fruit à pépin dont l’intérieur est jaune-orangé. Sa chair est très douce et un peu juteuse et sa peau est plutôt lisse. Ce fruit est très apprécié des elfes pour son goût et son jus rafraîchissant. Il pousse presque toujours sauf pendant les deux mois où les feuilles de l’Ourmier deviennent rouges.

Ce fruit est fréquemment utilisé et vendu dans presque toutes les villes de Fear Lunar pour son goût unique. Ses pépins pressés servent à fabriquer une huile pour la cuisine. Plus le volume de pépin par rapport à l’eau est important, plus l’huile est relevée.

Le plat le plus connu chez les Elfes est un dessert réalisé avec l’Ourm. Cela consiste à vider l’Ourm de ces pépins et, à part, de mélanger de la farine de Meroca avec un miel doux. Les fruits préparés sont ensuite plongés dans le mélange tiède, et cuits. Lorsque la cuisson est finie, les plus gourmands rajoute une nouvelle couche de miel sur la sorte de brioche ainsi obtenue. Ce plat fort apprécié est appelé le Stir’val.



Mais les Elfes ont également une spécialité de boisson ! Ils fabriquent un alcool très fort, consommé en de rares occasions, les Sylvains préférant en général l’eau de source. Cet hydromel est obtenu à partir d’une petite plante d’une cinquantaine de centimètre de haut, la Fassal. Elle est verte et tout autour de sa tige poussent des fleurs en forme de cloche de la taille d’un pouce, ayant la particularité d’avoir un fort goût sucré ; ainsi, au-delà de la fabrication de leur hydromel, les Elfes utilisent-ils les extraits de cette fleur pour édulcorer leurs plats. Autre particularité : après que ces fleurs aient été récoltées, la plante meurt et il faut en replanter une nouvelle. Mais sa croissance est très rapide et au bout de trois à quatre mois, de nouvelles fleurs apparaissent déjà. Ainsi, on peu espérer 3 à 4 récoltes par an.

Après la récolte, les fleurs sont séchées pendant quelques jours puis plongées dans de l’eau chaude. Elle reste là à fermenter pendant une bonne semaine, puis le fond de la cuve est relié à un tuyau baigné d’eau froide et se terminant dans des tonneaux. La cuve est chauffée, le mélange passe dans le tuyau sous forme d’air puis il se condense dans l’eau froide et arrive sous forme d’alcool dans les tonneaux (une distillation, quoi !). Ce procédé peut être répété plusieurs fois suivant le degré désiré et ainsi est obtenu l’alcool de Fassal.

Les Nains

Les Nains sont quant à eux de grands amateurs de viande, de gras en général et de bière forte. Les Elfes ont au passage une expression pour les gens qui mangent salement : « Il mange comme un Nain ». Et pourtant, derrière cette apparence de brute avinée (du moins pour de grands snobinards aux longues oreilles) se cache parfois un gastronome. L’exemple le plus célèbre est d’ailleurs Goustant le fou qui fut le premier à accompagner un repas de légumes. Il fut banni de la terre des Nains et finalement assassiné mais grâce à lui, il arrive maintenant au peuple des mines de manger de la verdure. Pourtant, leur alimentation est toujours basée sur la viande.



Le premier animal qu’ils mangent s’appelle le Difaron. C’est une bête de la taille d’une chèvre, au poil ras et noir avec des taches brune, et à quatre patte. Ces deux particularité sont qu’il à une bosse sur le dos et une grande corne brun-orange sur le front. La graisse contenue dans la bosse sert essentiellement à la cuisson du reste de l’animal, ou des autres plats(notamment pour ajouter un peu de matière grasse aux rares légumes de l’alimentation naine cités plus tôt…). Il est élevé ou bien dans des enclos qui doivent être bien fermés (l’animal pouvant sauter jusqu'à 1,50m) ou bien dans de très grandes étendues ; ce dernier cas présente notamment l’inconvénient de rendre difficile l’identification du bétail pour le cas où une bête s’aventurerait loin de l’étable. Les cuisiniers nains le préparent généralement à la broche, entier. Il le font cuire très longtemps en l’arrosant constamment de graisse et l’accompagne parfois de Tristil.

Lorsqu’un Nain veut particulièrement impressionner un hôte et paraître cultivé(voire un peu branchouille), il prépare ou fait préparer du foie de Difaron, considéré comme une pièce royale, suite à un repas resté légendaire, mais qu’il ne convient pas de décrire ici. Donc, le cuisinier place tout d’abord dans une grande marmite des morceaux de viande venant d’animaux divers et variés, laisse cuire pendant plusieurs heures afin d’obtenir une viande bien tendre, puis fait cuire au dernier moment, dans une poêle, le foie de l’animal, qu’il rajoute à la présentation comme pièce maîtresse. Le tout est servi accompagné d’une sauce pouvant être aromatisée à la bière(comme la bonne moitié des plats nains), ou par un peu de sang animal, voire dans de très rares cas(le summum du branché) à l’aide d’herbes aromatiques dont l’usage a été emprunté aux Humains.



Les Nains chassent aussi un autre animal très dur à débusquer, la Phassalie. Elle vit dans les montagnes, plus précisément dans les cavernes. Parfois, elle s’aventure à se cacher dans des forêts ou près des lacs. La Phassalie est un animal de près de 2,50m de haut. Sa bouche est ornée de deux défenses de la taille d’un bras et ses griffes sont particulièrement dangereuses. Son corps est recouvert de long poil gris-marron ou vert-brun suivant son habitat et elle se déplace en générale sur 4 pattes. Elle est herbivore et donc peu agressive, mais reste redoutable quand on l’attaque ; sa viande est cependant si savoureuse, et ses défenses ont tant de valeur, que beaucoup de Nains se risquent à la chasser.

Les cuisiniers Nains la font souvent cuire entière au dessus d’un feu, lors de grandes fêtes, faisant parfois flamber l’animal (pas vivant, hein… nous ne sommes pas chez les Drows) avec de l’alcool. Malheureusement, les Nains adorant cette animal et en mangeant un entier très rapidement, il est en disparition et de plus en plus dur à trouver. Ainsi des escrocs vendent-ils une viande au goût assez proche de la Phassalie mais bien moins difficile à trouver et moins bonne. Bien des bagarres de tavernes se sont déclenchées après qu’un Nain ait goûté une fausse viande de Phassalie.



Le Tristil est le tout premier légume qui apparut à Kirgan. Il est d’ailleurs de nos jours l’un des seuls. C’est un tubercule(poussant donc sous terre) et dont la taille est à peu près celle d’un poing ; sa chair est assez ferme mais prend rapidement à la cuisson une texture plus farineuse appréciée des Nains. Il fut découvert par Goustant le fou mais celui ci ne réussit pas à le faire connaître. C’est un de ses « disciples » qui utilisa un procédé très ingénieux pour répandre le Tristil. Il se fit passer pour plusieurs valet sous différent déguisement et parcouru la ville en disant que tel ou tel maître inventé par lui cherchait à manger du Tristil. Rapidement, le bruit courut dans tout Kirgan que des Nains riches et puissants désiraient à leur table des légumes pour accompagner la viande. Et le bouche-à-oreille fonctionnant, son usage se répandit. Aujourd’hui, il accompagne de nombreux plats de viande, sous diverses formes, notamment frit dans de l’huile ou bien cuit dans la graisse de Drifaron.

Le Tristil est planté deux fois par an lors des pluies. Au bout d’environ trois mois, des plantes aux feuilles vert argenté ont poussé ; il faut alors les arracher pour récupérer le tubercule.



Mais tout ces plats sont bien évidemment accompagnés de boisson. Il existe une multitude de bières différentes, plus ou moins alcoolisées (souvent plus, d’ailleurs…) et venant de différentes plantes. La première bière à avoir été brassée fut la bière d‘orge(cf. histoire de Girdon le Grand Brasseur, dans les demi-Dieux nains), il y des milliers d’années. Depuis, les Nains ont eu l’idée d’adapter la recette de fabrication de la bière à d’autres graminées, et la plus goûtue et la plus célèbre est sans conteste possible la bière de Criss.

Le Criss est une céréale qui ne pousse que dans la haute vallée de la Virné, au pied des falaises d’Arkan ; certains disent que cette terre a été bénie par Mogar et que les premiers Nains sortirent du sol à la source du fleuve… Mais revenons à la fabrication ; les épis, une fois récoltés, sont broyés et mis à fermenter pendant plusieurs semaines voire quelques mois, selon le degré d’alcool et l’amertume désirés. La bière de Criss est souvent concoctée en ajoutant à la mixture des épices, parfois des fruits le plus souvent secs, plus rarement frais. Ainsi, les Nains obtiennent traditionnellement la « vraie » bière de Criss : une bière forte, à la couleur de l’ambre et très mousseuse. Elle est servie par litre et accompagne les repas du tout-Kirgan, ainsi que les fêtes des Nains de tout Fear Lunar.

Les Drows

Ce peuple a développé une cuisine assez spéciale, similaire à leur caractère : pour eux, ce qui fait du mal, fait aussi du bien. Ils ont donc cherché dans tout Miradelphia les épices les plus fortes, les aromates les plus corsés, afin d’agrémenter leurs plats, ceux-ci agressant le tube digestif dans son ensemble, en particulier toute la bouche. Ils ont également la particularité, toujours de par leur caractère… hors du commun, d’être parfois, dans un accès de colère, de sadisme ou de folie, anthropophages, sylvanophages et nanophages. Ils ne sont en revanche pas cannibales ; quoique… Bon d’accord, il y a peut-être une ou deux exceptions… Mais il faudrait leur demander.

Au-delà de leurs spécialités d’Humains rôtis au four ou de Nains frits dans leur propre graisse, les Drows consomment beaucoup de viande. Si les Nains sont des éleveurs, les Humains des cultivateurs et les Elfes des cueilleurs, les Elfes Noirs sont essentiellement des chasseurs. Ils préfèrent laisser à leurs propres terres leur caractère sauvage, permettant qu’une faune aussi diverse que dangereuse s’y établisse. Cela constitue une réserve inépuisable de viande, en plus d’être un premier obstacle à l’avancée éventuelle sur leur territoire d’armées ennemies.


Le principal animal consommé par les Drows est le Ralir. C’est un félin, ressemblant un peu à une panthère, mais de couleur brune,et plus mesquin, plus musclé(donc donnant plus de viande), et beaucoup plus sociable. Du moins entre eux… Ils se regroupent donc en “meutes” d’une vingtaine d’individus environ, ce qui les rend très difficiles à chasser pour des personnes non aguerries. Cependant, les Drows se sont perfectionnés dans la chasse de cet animal, au point d’en faire ce qu’ils considèrent désormais comme un art. Ils chassent le Ralir en groupes de dix à quinze(les Drows, pas les animaux), armés chacun d’une bonne quantité de javelines taillées à la perfection, que les plus doués arrivent à lancer avec précision jusqu’à cinquante mètres !

Une fois que la meute de Ralirs a été abattue, les animaux sont ramenés entiers sur des chariots souvent tractés par des esclaves des autres races, ce jusqu’à la cité, où toute la population du village ou de la ville aide à la préparation des bêtes. Quand un chef Drow veut marquer son autorité, il n’attend pas deux minutes après l’arrivée du gibier pour ouvrir lui-même la première bête lui passant sous la main, avant de consommer à la vue de tous les reins de la bête, considérés comme le morceau le plus savoureux. Malgré tout, la plupart du temps, la viande n’est pas consommée crue.

Donc, une fois que le chef a éventuellement fait son cinoche, les animaux sont découpés : foie et reins sont cuits immédiatement, frits ou bouillis, et tous les autres abats moins nobles sont immédiatement emmenés sur d’autres grands chariots, qui seront déposés loin des villes pour nourrir les prédateurs sauvages, dont certains constitueront les prochains repas de la population.
La viande, quant à elle, peut également être cuite sur le moment, mais est souvent mise à part et plongée dans un bain d’eau salée(saumure) afin de la dessécher pour la conserver relativement longtemps. La viande consommée rapidement est grillée puis saupoudrée d’épices, ou bien cuite dans une sauce très relevée.


Venons-en à la vraie particularité de la cuisine Drow : les épices. Comme dit précédemment, les Drows recherchent toujours les épices les plus relevées, au point d’en être douloureuses pour le tube digestif dans son entier.

Leur dernière trouvaille est une espèce de petit piment nommé Jak’nir, à la couleur orange très vif, excepté la pointe du petit tubercule, de couleur rouge sang. Après peu de temps, les Drows se sont rendus compte que cette pointe rouge était la seule partie toxique de la plante, mais qu’une seule pointe pouvait empoisonner tout un régiment de cavalerie(cavaliers et chevaux, bien entendu…). Certains disent même que les eaux du lac Uraal auraient été empoisonnées à l’aide de pointes de Jak’nir, mais ce ne sont que blagues de comptoir sans fondement réel… Quoique, il faudrait essayer un jour, juste pour voir…

Donc, les Drows évitent d’utiliser cette partie de la plante, sauf lorsqu’ils mêlent cuisine et assassinat. Au passage, ces charmants personnages ont créé une coutume voulant que lors d’un repas, tous les INVITÉS et hôtes doivent se servir dans un seul et unique plat, afin de montrer qu’il n’y a pas de poison dans le plat.

Donc, le reste du piment est très apprécié puisqu’il brûle d’abord la langue et le palais, avant d’attaquer la gorge après déglutition, puis il provoque d’atroces brûlures d’estomac si la quantité est trop importante. Ce piment est le plus souvent réduit en poudre avant d’être mêlé à des légumes réduits en bouillie dans une sauce très relevée, mais certains ont vu un autre aspect plus ludique à la chose, à savoir de couper le piment en lamelles et de le mélanger à un accompagnement composé de poivrons eux aussi coupés en fines lamelles. Le jeu est donc de savoir quel sera le premier convive à tomber sur un morceau de Jak’nir.

La sauce au Jak’nir accompagne très souvent le steak de Ralir et constitue le plat traditionnel des familles Drows pour leurs repas du dimanche…

Boisson des Drows :

Nous avons vu plus haut que les Drows appréciaient énormément les épices
particulièrements fortes. Et bien, il en va de même pour leurs boissons. Les Drows sont très friands de tous les alcools forts présents sur le marché Miradelphien, mais on peut toutefois noter qu'ils fabriquent eux-mêmes trois boissons tout à fait uniques.

La première est une liqueur de Zat'kyr, fruit au goût acide et à la peau d'une couleur jaunâtre. Elle est fabriquée depuis longtemps et très prisée par les elfes noirs à cause de son très fort taux d'alcool. Elle est généralement servie aux invités de marque après un bon ragoût de Ralir. Mais certains Drows l'apprécient tout autant dans un Lenxar, une sorte de gâteau dont la recette est préservée secrète par les femmes Drows.

La seconde boisson, nettement moins alcoolisée mais tout aussi surprenante, c'est le Darnab, une boisson énergisante aux vertus aphrodisiaques. Elle est fabriquée à partir d'une plante ressemblant à un cactus et étant récoltée près de la Faille. Les grand-mères disent souvent à leur petites-filles : "Une gorgée de Darnab, une nuit mémorable !"

Et enfin, la dernière mais non la moindre de ces boissons Drows : La Shyk'na. C'est une liqueur très appréciée par les cannibales, mais aussi par beaucoup d'autres Drows. Il s'agit en fait d'un cocktail à base de sang frais et de liqueur d'amande. La plupart des tavernes sombres en servent, mais il faut y mettre le prix. En effet, ce genre de cocktail est très cher à cause du prix des amandes, qui est à la base un aliment humain.

Les Humains

[hrp : si vous ne savez pas ce que mangent les Humains, il y a vraiment un problème quelque part…]


L’alimentation de ce peuple est assez équilibrée, à savoir qu’elle regroupe un peu les cuisines des autres peuples : les Humains mangent de la viande et des graisses comme les Nains, des légumes comme les Elfes, et accompagnent tout cela d’herbes aromatiques et d’épices, comme les Drows. La principale originalité de la cuisine humaine est la quasi-omniprésence de féculents, bien plus encore que chez les Elfes et leur pain, ou chez les Nains et leur Tristil. On trouve ainsi toujours du pain à table, et c’est la base de l’alimentation des Humains les plus démunis…


Les Humains ont donc une cuisine plutôt hétéroclite, mélangeant dans leurs recettes viande, légumes et parfois féculents comme les haricots. La principale viande consommée est celle du bœuf, le mouton étant plutôt réservé à la production de laine, et la volaille n’apportant comparativement pas beaucoup de viande par rapport au travail demandé ; la viande de porc commence à rencontrer un certain succès, même si cet animal est étrangement considéré. On trouvera donc tous les morceaux du bœuf cuisinés des manières les plus diversifiées(pas besoin de vous faire un dessin : steak, ragoût, etc…).

Pour ce qui est des légumes, les terres humaines étant situes plutôt au sud, ce peuple cultive essentiellement des plants ayant besoin de soleil. Ainsi, on trouvera dans les ragoûts et autres recettes beaucoup de tomates, poivrons et autres légumes du soleil.